Comment préserver une atmosphère sereine en situation de crise dans les salles de supervision d’infrastructures critiques ? Et comment booster au quotidien l’efficacité opérationnelle ? En concevant des murs d’images évidents à regarder et à manipuler !
𝐏𝐚𝐫𝐥𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐫𝐠𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐞, 𝐩𝐮𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐥𝐚 𝐝𝐨𝐧𝐭 𝐢𝐥 𝐬’𝐚𝐠𝐢𝐭.
Elle a fait des progrès spectaculaires ces dernières années : logiciels plus agiles, interfaces homme-machine plus intuitives, qualité d’affichage… Même les systèmes les plus robustes, réputés les plus rigides, sont devenus tellement plus souples, plus pratiques ! Dans les CSU (Centres de Surveillance Urbaine) par exemple, deux équipes peuvent gérer en simultané deux crises indépendantes, dans la même salle, sans se gêner…
𝐃’𝐨𝐮̀ 𝐯𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐞̀𝐬 ?
Au-delà des progrès logiciels et architecturaux, la palette de fonctionnalités s’est considérablement élargie : cohabitent désormais des applications critiques de supervision (mur d’images) avec des briques métiers familières : bureautique, gestion de crise, de la visio, des centrales de discussion, des systèmes de vote, etc.
𝐐𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐚𝐜𝐭𝐬 ?
Sur le plan individuel, de meilleurs réflexes : on réduit la charge mentale liée à la technologie, on facilite l’attention.
Sur le plan des équipes, un bien meilleur travail collaboratif, davantage d’écoute, de cohésion et de précision.
En devenant le prolongement naturel des postes opérateurs, les murs d’images apportent une contribution essentielle à la confiance de chacun dans son job, dans ses missions. Un apport évident…
